Pas de legs pour l’infirmière
Une femme lègue une partie de sa fortune à l’infirmière libérale qui la soigne. Lorsqu’elle rédige son testament, elle ignore
Une mère décède en laissant 2 enfants et des petits enfants héritiers de sa succession.
Au cours des opérations de liquidation et de partage, un écrit fait apparaître qu’elle avait prêté 91 469 € à son fils. Celui-ci reconnaît alors avoir emprunté cette somme mais soutient l’avoir remboursée. En vain. Sans pouvoir apporter la preuve du moindre remboursement, cet héritier voit sa part d’héritage diminuée. En effet, saisie du litige, la Cour de cassation est venue rappeler la règle selon laquelle la preuve du remboursement d’une dette doit être apportée pour éteindre l’obligation de celui qui s’est endetté envers les autres héritiers.
Cour de cassation, fere chambre civile, 12 février 2021, pourvoi n° 18-23-573
Une femme lègue une partie de sa fortune à l’infirmière libérale qui la soigne. Lorsqu’elle rédige son testament, elle ignore
Il y a quelques années, il était pour moi consternant de répondre à une femme, partenaire ou concubine que oui,
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